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Pimp Up raconte son expérience de financement

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"Karmen est apparu comme une solution qui nous permettait de croître sans creuser notre trésorerie"

Peux-tu te présenter ? 

Bonjour à tous, je suis Manon,  la cofondatrice de Pimp Up. Chez Pimp Up, on fait des paniers de fruits et légumes qui sont sauvés du gaspillage chez les producteurs et qui sont livrés à des particuliers en point relais. Aujourd’hui, je suis là pour témoigner de notre collaboration avec Karmen. 

Que fait Pimp Up ? 

Pimp Up c’est une solution qui a pour mission de valoriser tous les produits qui ne rentrent pas dans les circuits classiques de distribution, au stade de la production et de la transformation pour des raisons esthétiques. Ce sont des produits un peu biscornus, qu'on n'a pas l'habitude de voir dans les rayons des supermarchés, mais aussi tous les autres produits qui tout simplement ne sont pas valorisés. Il faut les sauver et pour cela on en fait des paniers qu'on livre en point relais dans les centres-villes.

Pourquoi Pimp Up avait besoin d’un financement ? 

Pimp Up étant une solution destinée à des particuliers sur un modèle de commerce à l'abonnement, on a une vraie notion d'acquisition client et c'est un enjeu pour nous, avec des objectifs à éclater sur l'année, le tout dans une démarche assez ambitieuse.

On souhaitait aussi diversifier nos canaux d'acquisition, faire des pubs payantes et donc on avait vraiment besoin de financement sur la partie pub/marketing/acquisition.  Aussi, on trouvait dommage de creuser notre trésorerie pour finalement de l'acquisition que l’on sait rentable à un certain moment étant donné que nous connaissons la rétention de nos clients, leur coût d'acquisition.  

Le calcul était donc vite fait, Karmen était une évidence pour éviter de creuser notre trésorerie tout en continuant de croître chez Pimp Up.

Quels étaient tes critères de sélection ? 

En premier lieu, ça a été le feeling avec l'équipe Karmen. Chez Pimp Up, on a découvert le RBF via un atelier de notre incubateur, le Big de Montpellier, une semaine avant notre premier call avec Karmen. 

Suite à cela, on en a un peu benchmarké ce qui était proposé sur le marché et finalement, c'est avec Karmen que nous avons décidé de faire affaire, on a vraiment eu un bon contact avec Baptiste, le cofondateur, et, au passage, leur offre était la plus intéressante pour nous. 

Peux-tu nous parler de la mise en place du financement ? 

Au niveau de la mise en place du financement, quand ils disent que c'est rapide, c'est vraiment très rapide. Il y a un onboarding assez facile à faire sur la plateforme, on y renseigne quelques informations pour générer notre profil et l’interface sur laquelle on va pouvoir gérer nos différentes tranches de financement.

Et ensuite, une fois que l'offre sous forme de prêt nous a été proposée, puis validée,  en un jour ou deux, on avait le financement sur notre compte. Ensuite, les prélèvements se font de manière automatique, notamment si on utilise des outils comme Stripe. Le processus se fait de manière très très rapide.

En quoi Karmen a-t-elle participé à la réussite de Pimp Up ? 

Concrètement, nous notre croissance, notre réussite, elle est corrélée au volume de produit que l’on sauve du gaspillage du coup, volume qui est directement corrélée au nombre de paniers qu'on vend et donc au nombre de clients abonnés actifs. 

Avec notre financement Karmen, on a pu faire des publicités sur le long terme, puisqu'on a fait deux tranches de financement. Donc ça fait maintenant quatre, cinq mois qu'on est accompagné par Karmen sur ce projet. 

Notre base d'abonnés a augmenté de 50% depuis cette période et c'est en grande partie grâce aux publicités réalisées et qui ont été financées grâce à Karmen. Donc dans un sens, on peut dire que Karmen participe encore à la réussite du Pimp Up puisqu’on ne compte pas forcément s'arrêter maintenant.

Comment s’est déroulé le repeat ? 

Comment s’est déroulé le repeat ? Donc Pimp Up à deux notions liées à son évolution, à la réussite, il y a l'expansion géographique et puis l'expansion du nombre d'abonnés actifs de l'offre.  Donc nous avec Anaïs, on a lancé l'entreprise à Montpellier parce qu'on était basée là-bas, en parallèle de nos études, on a créé Pimp Up, donc il n'y a pas trop de questions à se poser.

Et puis Toulouse pour la réplication, ça a été un premier test pour voir si ça le faisait. Donc c'était très récent, en septembre on a, on a lancé un peu tout l'acquisition pour Toulouse et on a ouvert en décembre. Et le deuxième financement de Karmen est intervenu à ce moment-là, on avait besoin de faire des dépenses de marketing qui nous ont servi à faire du lead generation, d'avoir des gens sur waiting list et du coup faire des pubs avant d'avoir du revenu sur place, mais sur la base de la première tranche de financement, on avait assez confiant dans le fait que justement  les clients, une fois qu'ils sont avertis de l'ouverture de Pimp Up, arrivent, ils ont la customer value qu'on attend.

Donc il y a différents use cases finalement à l'acquisition de tous les jours. Et puis ça peut aussi permettre de financer un lancement où il y a des dépenses marketing un peu plus importantes à un moment pour le booster du début.

Comment vois-tu la suite de notre collaboration ? 

Comment je vois la suite de notre collaboration? Parce que je trouve que le mot collaboration, il est bien choisi, ce n'est pas seulement un accompagnement sous la forme d'un prêt, puisque rien que le timing fait que c'est rapproché, finalement on a des contacts réguliers. Donc comment je vois la suite ? Karmen accompagne Pimp Up dans sa croissance en l'aidant à ne pas creuser sa trésorerie grâce à des avances de trésorerie remboursables rapidement. Donc Pimp Up a prévu de continuer de croître. Je pense qu'on va juste rester en contact pour des prochaines tranches et continuer de faire cette session de  repeat.

Le mot de la fin ?

Le mot de la fin : go faire du RBF ! 

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